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Pourquoi la performance de l’OM contre Brest ravive les regrets des supporters

Auteur d'un match plein contre Brest, l'OM est provisoirement en tête de la Ligue 1. Le succès contre Brest ravive les regrets après la défaite contre l'Atalanta, qui met en grand danger l'avenir européen des Marseillais.

Net vainqueur du Stade Brestois (3-0) l’OM s’est installé en tête de la Ligue 1, à égalité avec Lens, mais avec une meilleure différence de buts (+10 contre +17). Une bonne opération pour les Marseillais après l’immense désillusion de la Ligue des Champions et une qualification qu’il va être difficile d’aller chercher.

Cette première place, que le PSG ne pourra reprendre qu’à condition de l’emporter à Lyon ce soir, laisse quand même d’énormes regrets aux supporters marseillais. Le principal reste la performance du jeune belge Arthur Vermeeren. Rayonnant au milieu de terrain (où il était associé à Pierre-Emile Holjbherg), l’international espoir provoque l’incompréhension chez les supporters : comme se fait-il qu’il ait été remplacé à la mi-temps conte Lisbonne (alors que l’OM était réduit à 10) et comme est-ce possible qu’il n’ait pas participé au match contre l’Atalanta (il est resté sur le banc) ? « Et oui, on se demande tous comment ça se fait que Vermeeren n’ait pas joué contre l’Atalanta » a notamment posé ce gros compte suiveur de l’OM.

Roberto De Zerbi n’explique pas cette irrégularité chronique de son équipe

« Il ne doit plus jamais sortir de l’équipe », écrit celui-là, qui apprécie sa « qualité technique, sa vision et son travail à la récupération ». Le compte CDS (Coup de sifflet) résume la situation en se demandant pourquoi il n’est pas l’un des premiers noms cochés sur la feuille de match. 

Mais le principal regret reste cette irrégularité chronique dans les performances. Plus directement dans le jeu. « C’est la particularité de Marseille… Contre Angers, c’était à peu près la même équipe et on a mal joué, ce soir j’ai pris du plaisir à voir mon équipe jouer », n’explique pas Roberto De Zerbi. Bien sûr, Brest n’est pas l’Atalanta, mais l’entraîneur italien sait que son équipe pouvait fournir le même type de match contre les Italiens, où contre Angers quelques jours plus tôt. 



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