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Un effectif passé de 230 à 182 M€, une masse salariale divisée par 3… La cure d’austérité a frappé l’OL

Mis au pied du mur par la DNCG, l’OL a réussi à sauver sa place en Ligue 1 au prix de promesses fortes. Quelles conséquences sur le terrain ?

Le rééquilibrage du budget est passé par une potilitique d’austérité obligatoire, pour faire baisser la masse salariale. Entre l’argent à faire entrer en vendant ses joueurs les plus « bankable » et ses économies de salaire, les Lyonnais de Michele Kang ont largement diminuée la voilure. Première conséquence : la baisse de près de 25% de la valeur de son effectif, passé d’environ 232 millions d’euros à 182 millions aujourd’hui. La vente de Rayan Cherki (valorisé à 45 millions) étant la principale raison. Un départ de Malick Fofana (même si le joueur veut rester), pourrait encore accélérer le phénomène. Le jeune belge étant valorisé à 30 millions d’euros. 

La masse salariale est passée de 160 M€ à moins de 60 M

Avec le départ de beaucoup de gros salaires (Lacazette, Perri, Veretout, Matic…) et la mise en place d’une politique salariale plus stricte, l’OL a aussi fait considérablement baisser sa masse salariale « joueurs ». D’environ 170 millions d’euros, en juillet 2024 (la plus haute de l’histoire de l’OL), puis 160 millions fin mai 2025, cette dernière est passée à moins de 60 millions aujourd’hui ! Malgré cette austérité, les Gones présenteront une équipe solide à Lens. Pour l’instant, Mata et Fofana, qui pourraient partir, sont toujours là, mais Greif, le gardien slovaque, successeur de Perri, n’est pas encore arrivé. Tagliafico, en revanche, qui a prolongé, est dans le groupe. L’international espoir anglais, Tyler Morton, prêté par Liverpool, devrait débuter. 



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