L’Espagnol, Carlos Alcaraz est de retour après un Open d’Australie qui lui échappe toujours. Novak Djokovic était sur la route du joueur de 21 ans. Pourtant, au global, l’Espagnol est beaucoup mieux que l’an dernier.
Carlos Alcaraz n’a pas réussi à s’imposer sur le Grand Chelem qui lui manque à son palmarès. L’Espagnol est tombé contre le vétéran Serbe Novak Djokovic qui enchaîne un deuxième succès de suite après les JO. Carlitos a regardé Sinner remporter le premier majeur de la saison avec autorité et la manière.
Pour Carlos Alcaraz, le début de saison n’est pas noir à ce point. Le petit espagnol défendra au moins deux titres à Roland Garros et à Wimbledon. Soit le coeur de la saison tennistique. Cependant, loin de lâcher les armes, le finaliste des JO a décidé de se remettre à l’endroit en Indoor avant les Masters 1000.
Actuellement à Doha, il suit les traces d’un certain Roger Federer qui faisait sa rentrée sur ce petit tournoi de 500 points. Il est en quart de finale sans broncher. Même si, son service reste un maillon faible de son jeu notamment dans les moments clés.
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Dans les moments clés, Alcaraz rattrape son retard
Combien de fois l’Espagnol s’est repris avec un de break après avoir concédé sa mise en jeu ? Contre Djokovic, le scénario parlait de cette faiblesse qui poursuit l’Espagnol. En outre, la défaillance d’Alcaraz dans son match contre Djokovic, c’est son service. Sur ce paramètre, il apparaît très loin du niveau de son idole de toujours, Roger Federer et Rafael Nadal.
Si des doutes persistent sur les capacités de l’Espagnol à améliorer son service, Carlitos sait gérer les temps forts d’un match. Là, est sa plus grande marge de progression. Son entraîneur, Juan Carlos Ferrero en est persuadé. Pour lui, son poulain maîtrise mieux les matchs et arrive à une grande maturité. De quoi mettre en avant le jeu complet d’Alcaraz. Bien que l’Open d’Australie se refuse à lui.