Vannes a réalisé un gros coup en recrutant pour deux saisons l’arrière anglais Nick Abendanon (34 ans). Non conservé par Clermont, Abendanon veut aider le club breton à poursuivre son ascension.
Votre arrivée en Pro D2 surprend. Pourquoi ce choix ?
J’ai pris la décision tard, j’avais deux offres dont une en Angleterre, mais ma famille avait envie de rester en France et on m’a proposé deux saisons à Vannes plutôt qu’une saison ailleurs. Nous sommes dans une jolie région, le club est compétitif, tout est réuni afin que je m’épanouisse.
Suiviez-vous la Pro D2 ?
À lireXV de France : Fabien Galthié est-il encore l’homme de la situation ?Pas trop, je ne vais pas vous mentir. J’ai suivi les matches de Perpignan car il y avait mon ami Damien Chouly qui y jouait. Je n’ai pas un avis très pointu, mais ce qui est sûr c’est que les équipes qui montent chaque année sont très difficiles à jouer. Le championnat possède donc des clubs costauds, certains qui ont brillé dans l’élite dans le passé.
« Je voulais rester à Clermont… »
Comment se situe Vannes dans ce championnat ?
C’est un club en progression constante, qui s’est qualifié pour les phases finales il y a deux ans avec une demi-finale. Il est difficile de juger la saison dernière car elle a été trop particulière. Le recrutement est bon, l’équipe est belle, on vise le top 6.
En voulez-vous à Clermont de ne pas vous avoir gardé ?
À lireCombien gagne Fabien Galthié ?Je voulais rester, mais mon option d’une saison n’a pas été activée par le club. J’étais un peu déçu, mais je n’oublie pas les belles années passées là-bas, les amis que j’y ai laissés.
