Le retour de Patrick Vieira à Nice, où il a été le premier entraîneur viré par Ineos, est l’occasion de s’interroger sur l’apport de la société de Jim Ratcliffe. Il y a quatre ans, les Britanniques étaient arrivés plein d’ambitions, aujourd’hui ça ressemble à une fraude…
Depuis qu’Ineos a racheté le club, en août 2019, l’OGC Nice a vu défiler six entraîneurs sur le banc. De Patrick Vieira, qui était en place lors du rachat, à Francesco Farioli, qui vient d’arriver.
Pour l’instant, aucun n’a réussi à convaincre sur la durée. Pas plus les supporters que la direction du club. Même si Patrick Vieira et Christophe Galtier étaient parvenus à hisser le club à la 5ème place, ils subiront tous les deux les foudres des très exigeants supporters niçois sur la fin de leur mandat. Patrick Vieira sera même le premier entraîneur remercié par Ineos, en décembre 2020.
A l’OGC Nice, Ineos, c’est surtout une grande déception
Aujourd’hui, Ineos reste surtout synonyme de déception pour les fans du GYM, qui s’étaient mis à rêver, en écoutant le discours très ambitieux des Britanniques à leur arrivée. Finalement, Jim Ratcliff n’a jamais offert ces ambitions aux Niçois et a fini par faire machine arrière. « Il y a eu pendant quelques mois un projet extrêmement ambitieux, ce n’est plus d’actualité » a reconnu Jean-Pierre Rivère, en début de saison.
Machine arrière, oui, mais pas trop quand même. De concurrencer le PSG et viser le podium, l’ambition a seulement été revue légèrement à la baisse. Tout du moins si on écoute, Florent Ghisolfi, le directeur sportif arrivé au printemps en provenance de Lens. « L’objectif, c’est d’être européen et de l’être chaque saison ».
Faut-il encore s’en donner les moyens. Malgré des arrivées intéressantes de Morgan Sanson et Jérémy Boga, le club ne s’est pas distingué sur le marché des transferts cet été. Aujourd’hui, sa plus grande réussite a surtout été de garder Jean-Clair Todibo et Kephren Thuram, courtisés et tout proches de partir.
Pour le reste, les Aiglons ont surtout fait des paris, à commencer par le choix de Francesco Farioli, qui n’a que deux saisons en Turquie (au Fatih Karagümrük et à Alanyaspor) comme expérience sur un banc. L’entraîneur italien a promis un jeu offensif et ambitieux. Pour l’instant, on n’a rien vu.
Finalement, pour retrouver un OGC Nice ambitieux, il faut remonter 6 ans en arrière. Au terme de la saison 2016/2017, le GYM de Balotelli et Belhanda avait terminé sur le podium. Certes, l’effectif niçois est intéressant, mais un ton en dessous de celui d’équipes comme Rennes, l’OM, Monaco, Lille ou encore Lyon, pour viser le Top 5.
La venue de Strasbourg, qui, au même titre que Reims, fait partie des équipes capables de s’intercaler devant Nice, est un deuxième test, après celui, complètement raté, contre Lyon.
Tu as bien ecrit que l’effectif de Lyon est au dessus de celui de Nice ?
On en reparle à la fin de la saison.
Bonjour. Nous parlons de l’effectif, pas obligatoirement de l’équipe…
Et oui Lyon….bon dernier de la ligue 1, Lens avant dernier, ….du coup Nice peut être dans le top 6….
Mais c’est quoi cet article qui parle de choses qu’il ne maîtrise visiblement pas ? C’est pas du journalisme ça 😂
Si vous aviez simplement regardé les matchs de Nice depuis le début de la saison vous n’auriez pas pû écrire ça… C’est une équipe qui produit du jeu, qui a dominé tous ses matchs même contre Lyon, mais quand l’adversaire refuse de jouer à un moment donné tu peux pas faire un bon match même si effectivement Nice aurait dû être plus efficace. Quant aux équipes que vous citez c’est certainement celles qui pratiquent le football le plus moche et pauvre de ce début de saison…
Brahimi a subi une injustice à Nice. Et que dire du talentueux Bouanani !
Ou est la fraude de Ineos ? Merci de developper… ensuite Jim Ratcliffe est tres mal vu en France parr l administeation fiscale…ils preparent un redressemeny de 400 M d Euros pour la fin de l annee