Afficher le sommaire Masquer le sommaire
En 2025, être un grand footballeur ne suffit plus. Il faut aussi être une star sur Instagram, TikTok et les autres plateformes. Et pour ça, avoir le bon smartphone devient presque aussi important que de bonnes crampons.
Cristiano Ronaldo, roi absolu des réseaux
Avec 654 millions d’abonnés sur Instagram, Cristiano Ronaldo n’est pas seulement le footballeur le plus suivi au monde, c’est carrément la personnalité la plus populaire de la planète, toutes catégories confondues. Devant lui ? Personne. Derrière ? Messi avec ses 505 millions de followers et Neymar avec 229 millions.
Ces chiffres donnent le tournis, mais ils reflètent une réalité : les footballeurs sont devenus de véritables influenceurs. Chaque publication de CR7 génère des millions de likes, attire les plus grandes marques et rapporte des fortunes en contrats publicitaires.
Mbappé, la nouvelle génération connectée
Kylian Mbappé incarne parfaitement cette nouvelle ère du football où l’image compte autant que les performances. Avec plus de 120 millions d’abonnés, le capitaine des Bleus maîtrise son image à la perfection. Stories Instagram après les matchs, posts sponsorisés avec les plus grandes marques, il sait exactement comment parler aux jeunes générations.
À lireFinale League des champions 2024 : les 5 moments forts à revivre absolument« Mbappé a compris que les réseaux sociaux ne sont pas juste un outil de communication, c’est un véritable business », expliquait récemment un expert en marketing sportif. Et le business est juteux : selon les estimations, un post sponsorisé de Kylian peut rapporter entre 500 000 et 1 million de dollars.
L’équipement indispensable
Pour gérer une telle présence en ligne, les footballeurs pros ont besoin d’outils performants. Fini le temps où un simple téléphone basique suffisait. Aujourd’hui, les stars du ballon rond s’arrachent les derniers modèles haut de gamme, capables de filmer en 4K, de prendre des photos professionnelles et de gérer plusieurs comptes simultanément.
L’iPhone 17, sorti en septembre dernier, est devenu le smartphone de référence dans les vestiaires de Ligue 1 et des grands championnats européens. Ses trois capteurs de 48 mégapixels permettent de réaliser des contenus dignes de véritables productions professionnelles, directement depuis la poche.
« On filme nos échauffements, les coulisses des matchs, les voyages avec l’équipe… Le smartphone ne nous quitte jamais », confiait récemment un joueur du PSG qui préférait garder l’anonymat. « Il faut que la qualité soit au rendez-vous, sinon ça fait pas pro ».
Protection maximale exigée
Mais qui dit smartphone haut de gamme dit aussi risques. Dans les vestiaires, sur les terrains d’entraînement, pendant les déplacements, les téléphones des joueurs sont exposés à tous les dangers. Chocs, chutes, rayures… Un smartphone endommagé, c’est l’impossibilité de poster pendant plusieurs jours, une perte de visibilité et potentiellement des contrats sponsoring qui tombent à l’eau.
À lireLes secrets des streamers de foot : contourner les géo-blocages pour suivre son club partoutC’est pourquoi la plupart des pros ne prennent aucun risque. « Mon iPhone, c’est mon outil de travail numéro 2 après mes crampons », expliquait un international français dans une interview récente. « Je l’ai payé plus de 1 400 euros, pas question de le casser bêtement ».
Résultat : la coque iPhone 17 ultra-résistante est devenue un accessoire indispensable dans tous les vestiaires. Certains joueurs en changent même régulièrement pour matcher avec leurs tenues ou l’ambiance du moment.
« J’en ai une transparente pour les jours où je veux montrer mon iPhone, une noire sobre pour les matchs, et même une aux couleurs de mon club », rigole un ailier de Ligue 1 sur ses réseaux. Le post a fait plus de 200 000 likes.
Le PSG en pointe sur la stratégie digitale
Sans surprise, le Paris Saint-Germain est le club français le plus suivi sur les réseaux sociaux, avec une communauté mondiale qui s’est construite notamment grâce au passage de Messi, Neymar et Mbappé. Même si ces stars ont quitté le club (ou sont sur le départ), l’héritage digital reste colossal.
Le club parisien a compris l’importance de cette présence en ligne et accompagne ses joueurs dans leur stratégie de communication. Formations aux réseaux sociaux, accès à du matériel photo et vidéo professionnel, conseils en personal branding… Tout est mis en place pour maximiser l’impact digital.
L’OM et les réseaux : une histoire compliquée
À Marseille, c’est une autre histoire. Comme le montrent les récentes polémiques autour de Roberto De Zerbi, les supporters marseillais n’hésitent pas à exprimer leur mécontentement sur les réseaux sociaux. Après la défaite à Lille, les messages hostiles envers l’entraîneur italien se sont multipliés.
À lireLes meilleures équipes de NBA« ça fait un an et demi qu’on essaie d’apprécier le football de De Zerbi, je jette l’éponge », pouvait-on lire sous un post du coach. Ces réactions montrent à quel point les réseaux sociaux sont devenus un baromètre ultra-sensible de l’opinion des supporters.
Pour les joueurs, c’est un équilibre permanent à trouver : communiquer suffisamment pour entretenir leur image, mais pas trop pour éviter de s’exposer à la critique permanente. « Parfois, il vaut mieux éteindre son téléphone après une défaite », confessait récemment un défenseur marseillais.
Les clubs français à la traîne ?
Si on compare avec les géants européens, les clubs français ont encore du chemin à parcourir. Le Real Madrid domine avec 474 millions de followers cumulés sur toutes les plateformes, devant le Barça et Manchester United. Le PSG arrive en 4ème position mondiale, mais l’OM, Lyon ou encore Monaco sont loin derrière.
Cette présence digitale a un impact direct sur les revenus. Plus un club est suivi, plus il attire de sponsors, plus il vend de maillots à l’international, plus il peut négocier des contrats TV avantageux. Les réseaux sociaux sont devenus un véritable enjeu économique.
L’avenir ? Encore plus de contenu
La tendance est claire : les footballeurs vont devoir produire toujours plus de contenu. TikTok explose chez les jeunes, Instagram reste incontournable, YouTube permet de créer des formats plus longs… Chaque plateforme a ses codes, ses audiences, ses opportunités.
« Dans 5 ans, tous les joueurs auront leur propre chaîne YouTube avec du contenu exclusif », prédit un analyste spécialisé dans le marketing sportif. « Ceux qui ne sauront pas s’adapter perdront en visibilité et donc en revenus ».
À lireRaquette de padel : Fibre de carbone, kevlar ou graphite ?Pour gérer tout ça, il faut des outils performants et fiables. Le smartphone est devenu le prolongement du footballeur moderne, son studio mobile qui lui permet de rester connecté avec ses millions de fans 24h/24. Et dans ce domaine comme sur le terrain, seuls les meilleurs équipements permettent de performer au plus haut niveau.
