Cette année, le Tour part à la découverte de trois nouvelles ascensions, dans les Pyrénées, le Massif central et les Alpes.
La côte de Vivero
Pays basque espagnol, 361 mètres 4,2 km à 7,3 % 1ère étape, samedi 1er juillet entre Bilbao et Bilbao. Juste avant d’aborder le terrible pourcentage de la côte de Pike (2 km à 10% avec des passages supérieurs à15%),lacôtedeViveroestàlafois plus longue et moins difficile, avec une portion de pente à 10,3 % pour terminer, mais peut s’avérer stratégique à seulement 30 km de l’arrivée, avant-dernière difficulté d’une étape très accidentée qui compte cinq ascensions dans l’arrière-pays basque en bordure de la mer Cantabrique.
Le col de la Croix de Rosier
Massif Central, 721 mètres 6,7 km à 6,5% 12ème étape, jeudi 13 juillet entre Roanne et Belleville-en-Beaujolais.
Après un premier kilomètre de faux plat qui fait forcément baisser la moyenne, la pente se braque d’un coup pour 4 km entre 7 et 9 % et un final auteur de 6% qui ne laisse aucun temps mort. Quatrième ascension d’une étape qui en compte cinq, au milieu des vignes du Beaujolais, des points de bonus (8 secondes au premier, 5 au deuxième et 2 au troisième) accordés au sommet de la Croix de Rosier devraient le rendre encore plus attractif… à 30 km de l’arrivée.
Le col du Feu
Alpes, 1117 mètres 5,8 km à 7,8 % 14ème étape, samedi 15 juillet entre Annemasse et Morzine Dans le Chablais, sur les hauteurs du lac Léman, en Haute-Savoie, le col du Feu propose un paysage bucolique sur de petites routes de montagne et un effort de 5,8 km à 7,8% de moyenne dans le premier tiers d’une étape de 152 kilomètres, entre l’ascension du col de Cou (1116 m, 7 km à 7,4 %) et celle du col de la Ramaz (13,9 km à 7,1 %), avant l’ascension finale du col de Joux-Plane (11km à 8%) sur le chemin de Morzine.
Peu connu, ce petit col est très emprunté par les cyclistes amateurs car très peu de voitures s’y aventurent. La pente offre peu de faux plats et ne cesse de grimper jusqu’à son sommet.
