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Remettre en place la prolongation
Avec le Covid, la prolongation a disparu de la Coupe de France lors de la saison 2020/2021. Objectif : éviter de tirer sur les organismes en les protégeant dans une période où le virus attaquait le système immunitaire et perturbait l’équilibre médical des acteurs. Cinq ans après, la prolongation n’est toujours pas revenu. Cette fois, l’objectif est de permettre aux clubs d’éviter une trop grande dépense d’énergie, en jouant plus de 120 minutes.
Pour de nombreux observateurs, la disparition de la prolongation a nuit au charme de la compétition. Combien de fois s’est-on enthousiasmé pour ces deux fois 15 minutes qui viennent conclure un match haletant ? En supprimant la prolongation, on a enlevé une partie de l’âme de la Coupe de France. On a enlevé du spectacle, dont sont friands les téléspectateurs et que les séances de tirs au but n’a pas remplacé.
Limiter le nombre de remplacements
De la période Covid, on a aussi hérité de l’augmentation du nombre de changements en cours de match. Désormais, un entraîneur peut changer 5 joueurs en 3 remplacements. Une règle qui avantage les clubs aux gros effectifs, qui profitent de cet atout face aux plus petits. C’est encore plus flagrant en Coupe de France. Repasser à 3 changements nivèlerait les valeur et donc offrira plus de spectacle.
Jouer sur des terrains neutres
A partir des quarts de finale, les rencontres n’auront plus lieu chez le premier tiré au sort (ou le plus petit en cas de différence de 2 niveaux), mais sur un terrain neutre. De quoi niveler les valeurs encore un peu plus et donner une nouvelle attractivité aux rencontres à partir de ce stade de la compétition.
