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Formule 1 : on peut s’attendre à tout, un final à couper le souffle décrypté

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La F1 va reprendre dans une petite semaine. L’occasion pour les prétendants à la victoire finale au titre du championnat du monde de revoir leurs objectifs une dernière fois. Entre la fébrilité de Red Bull, la croissance de McLaren et les Ferrari en embuscade, il y a de quoi avoir de nombreuses surprises dans les jours à venir.

Red Bull sait que son modèle est en grand danger. Avec la poussée de McLaren qui n’était pas prévu dans le business plan de la marque autrichienne, voilà, désormais que les probabilités d’un nouveau champion du monde se profile à l’horizon. Max Verstappen n’est plus que l’ombre de lui-même depuis quelques Grands Prix. L’agitation en coulisse de son écurie n’y est pas pour rien et la concurrence s’annonce plus forte en 2025 et 2026.

Plusieurs éléments expliquent cette baisse de performance de l’écurie autrichienne. En premier lieu, le plafond de la performance et la consommation du budget qui va avec. Horner avait prévenu que la deuxième partie de saison de l’écurie serait bien plus difficile du fait du plafond budgétaire. Une règle qui s’applique à toutes les écuries en l’occurrence et qui montre les failles de Red Bull.

Une faille dont profite d’autres talents comme McLaren et Ferrari, les deux concurrents de Verstappen au championnat du monde.

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La dynamique pour McLaren, l’embuscade Ferrari

C’est le dernier tiers dont la F1 rêve depuis le début. Si les craintes d’une domination totale de Red Bull étaient claires, le scénario a mérité une grande mise à jour. Tellement, la saison de F1 a amorcé un virage à 180 degrés. Après 5 GP, tout semblait ouvert pour voir Verstappen endosser une domination aussi large que possible.

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Le seul hic était en fait son écurie soumise à des tempêtes internes que le paddock a rapidement analysé. Puis, la défaillance Pérez a coûté très cher à Red Bull, le pilote mexicain étant dans l’incapacité de protéger son leader. Il se murmure que les plafonds de budget chez Red Bull ont laissé Pérez quelque peu sur le carreau.

Puis, les McLaren ont surfé sur la dynamique de la saison passée. Les deux espoirs que sont Norris et Piastri ont contrarié les plans de la Red Bull d’abord. Avant de regarder Ferrari se mêler à la bataille avec deux victoires symboliques. À Monaco puis à Monza, c’étaient les moments pour que la Scuderia se mettent enfin à y croire.

Au-delà de cette association rivale pour gêner Red Bull, les deux écuries se livrent une bataille à distance pour la deuxième place du championnat des pilotes. Sans oublier une dispute totale pour le tableau des constructeurs.

McLaren a un temps d’avance

L’écurie orange moribonde depuis plusieurs années vit une renaissance cette saison. Les prémices de la saison passée ont donné de l’appétit à deux rookies du circuit de F1. Lando Norris et oscar Piastri sont devenus les rivaux numéro 1 de Max Verstappen. Bien qu’en dehors du circuit, les amitiés sont exceptionnelles pour ce petit monde la F1.

McLaren a endossé le costume d’outsider numéro un contre Red Bull. Quelque peu timoré, les champions en titre n’arrivent plus à répondre au défi tactique et à la science de la course de son concurrent britannique. Sans oublier les Italiens qui savent que les deux écuries devant elles n’ont pas de marge de manoeuvre.

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Cachée, la Scuderia de Fred Vasseur attend peut-être le bon moment pour perturber les plans de ces deux concurrentes. Si Ferrari sait que ce sera d’une grande difficulté pour attraper la première place, elle aimerait participer au suspense de cette fin de saison.

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