Lionel Messi est-il un gros flop ? Le débat fait rage chez les supporters du PSG. En attendant, Le Quotidien Du Sport vous propose le onze des pires recrues de l’ère QSI.
Gianluigi Buffon : arrivé en provenance de la Juventus de Turin d’où il part en légende ne sera pas la même histoire avec le PSG. Au club seulement une année de 2018 à 2019, il laissera en travers de la gorge son match ratée en huitième de final de champions League face à Manchester United.
Alessandro Florenzi : une année de prêt qui n’a pas rendu service au club de la capitale durant la saison 2020/2021. Trop souvent absent l’ancien Romain aura surtout déçu durant la double confrontation face à City.
David Luiz : le défenseur brésilien arrive fraîchement en provenance de Chelsea à l’été 2014 après une coupe du monde mitigée. Il ne trouvera jamais de stabilité pour le prix qu’il a couter (50 millions) et même pire, il retourne à Chelsea pour 20 millions moins cher 2 ans après.
A LIRE AUSSI : les supporters ont-ils tort de s’attaquer à Neymar ?
Diego Lugano : Diego Lugano était l’une des premières recrues du Paris Saint-Germain sous QSI. Mais l’Uruguayen ne garde pas un bon souvenir de son passage sportif au club. Le capitaine de la sélection uruguayenne était arrivé en provenance du club turc du Fenerbahçe, où il était une idole. Considéré comme un véritable taulier en défense, il s’avérera être un échec cuisant.
Jese, la pire recrue du PSG sous QSI
Layvin Kurzawa : Layvin Kurzawa reste une véritable énigme durant son passage au PSG. Capable de réaliser des exploits impressionnant pour un latéral il sombrera dans l’ombre de Juan Bernat et sera même placer dans le loft parmi les indésirables du club. Un bilan encore plus choquant lorsqu’on se rappelle qu’il n’avait pas jouer 1 match de championnat durant toute la saison 2021/2022 qui l’empêchera d’être sacré champion de France.
Grzegorz Krychowiak : Solide avec son équipe nationale de Pologne et pierre angulaire du FC Séville sous Unai Emery, Grzegorz Krychowiak débarque à Paris en 2016 pour 27,5 M€. On pensait enfin avoir trouver le successeur de Thiago Motta mais le Polonais ne justifiera jamais sa venue.
Benjamin Stambouli : En échec à Tottenham, Benjamin Stambouli débarquait au Parc des Princes en 2015 pour 8,6 M€. Laurent Blanc avait besoin de joueur francais, afin de compléter l’effectif pour la Ligue des champions et pensait que relancer un Stambouli à l’arrêt serait peut-être bonne idée. Cependant il ne trouvera jamais sa place a cause de son niveau beaucoup trop en dessous du trio xxl qu’avait le PSG à cette époque là a l’instar de Thiago Motta, Blaise Matuidi et Marco Verratti.
Georgino Wijnaldum : le néerlandais est passé de top milieu de terrain à Liverpool à rescapé d’un naufrage collectif durant toute la saison dernière. Capable d’être fantomatique durant le temps qu’il passe sur la pelouse l’ancien capitaine des Oranjes perd même sa place en sélection. Un changement de niveau brutal pour l’ancien champion d’Europe avec les Reds qu’a choqué les observateurs. Pour un joueur de ce standing son passage en terre parisien restera un échec.
Jese : 25 M€ pour la dernière année du contrat de Jesé Rodriguez au Real Madrid. Cette phrase a de quoi donner des boutons aux comptables parisiens ! Le prometteur ailier espagnol va connaitre un véritable enfer de 2016 à 2021 ou il enchainera les prêts à répétition du côté de Stoke City, Las Palmas… Incapable d’apporter une plus-value a l’attaque rouge et bleue, il est juger comme la pire recrue de l’histoire du PSG version QSI.
Emery n’arrivera jamais à gérer Ben Arfa
Mauro Icardi : l’argentin arrive avec tout plein de promesse pour le peuple parisien après une première parti de saison réussi en 2019. Il a réussi à faire oublier Cavani dans la tête de Tuchel mais les supporters ne l’oublieront pas pour autant. Depuis le final eight à Lisbonne en 2020 le joueur a totalement perdu son niveau de jeu. Kilo en trop, absence en séance et rupture avec sa compagne n’arrangeront rien. Les 65 millions déboursés + la place prise par Mauro Icardi a Edinson Cavani (le meilleur buteur du club à ce moment-là) ne se justifieront jamais dans les cœurs des supporters du PSG.
Hatem Ben Arfa : Décidément, ce mercato de l’été 2016 restera dans les annales… A ce moment-là, Hatem Ben Arfa sort d’une saison en forme de renaissance avec Nice. Il est très courtisé et rêve encore à haute voix de s’inviter à la table des plus grands. Mais l’histoire avec le club de la capitale va virer au cauchemar. Unai Emery ne l’utilisera pas vraiment et ne le laissera jamais s’exprimer pleinement. Le natif de Clamart avait pourtant de la place après le départ de sa majesté Zlatan Ibrahimovic. Des problèmes en interne lui vaudront même une mise à l’écart du groupe pendant plus d’un 1 an.
Avec l’ensemble de la rédaction