lundi 17 mars 2025

Le Real Madrid reste le Real, City reste City

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Le Real Madrid de Carlo Ancelotti a maté le Manchester City de Pep Guardiola. Dans un match des grands soirs, l’Italien a rééquilibré le bilan dans la plus grande rivalité du 21ème siècle. On attendait lr éveil de City, on a vu que ce n’était pas pour tout de suite…

Au Real l’art du temps. A City, l’art de l’absurde. Alors que le match était déjà dans une atmosphère assez incroyable, Manchester City pensait s’assurer une victoire paisible et tranquille. Rien n’y fait dans la période des skyblues. En effet, les Anglais ont cru bon que tout allait passer après le pénalty obtenu par Phil Foden et pendre l’avantage du 2-1. Non, le Real n’a jamais lâché et a fini par se mettre à l’abri avec un avantage de +1.

Les Merengues étaient privés de nombreuses options pour cette rencontre dite du barrage aller. Lucas Vasquez était le dernier espagnol et titulaire en date à déclarer forfait. Après le nul dans le derby de l’Atletico, la Maison Blanche avait bien plus d’atouts à faire valoir que son homologue bleu ciel.

D’abord, le Real est plus complet dans ses matchs malgré quelques passages à vide qui coutent des buts. Le match contre le Barça en Super Coupe ou bien celui de l’Atletico en championnat le démontre. Cependant, l’équipe de Carlo Ancelotti ne perd jamais sa confiance.

Et ce, malgré une première partie de la première période à sens unique pour les joueurs de Carlo Ancelotti. De la vitesse, du mouvement et des occasions qui auraient dû se concrétiser par une ouverture du score plus tôt dans le match.

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Le Real en gestion face à City sans solution

L’ouverture du score de Haaland après un hors-jeu très limite non signalé en raison d’une position naturelle de la main n’a pas transformé la rencotre en carnage. City était dans son temps fort et touchait la barre transversale. Pas de panique au Real qui a repris la main sur un élément majeur, le contre.

Déjà en première période, Rodrygo, Vinicius et Mbappé avaient décidé de remuer la défense mancunienne pour la tester. Un pari gagnant avec les meilleures occasions pour les 3 attaquants. Ce n’est que partie remise au retour des vestiaires. Le Real a jouté Jude Bellingham sur l’impact offensif pour revenir au score.

Malgré une grande réussite sur son geste, Kylian Mbappé devait aussi marquer un troisième but consécutif contre une grande équipe après le Barça et l’Atletico, c’est City la victime. le Français a tenté le même geste que lors de la finale de la Coupe du Monde 2022. Un choix payant avec le tibia qui a servi de pousse ballon.

Le Real Madrid n’a pas forcé en fin de match

Nul doute que le Real avait fait le plus dur à l’heure de jeu. Nul doute que le champion d’Europe en titre allait appuyer. C’était sans compter sans l’intervention d’un nouveau penalty avec Foden en victime. L’ailier anglais a provoqué la faute et Ceballos n’a pas su se contrôler. 2-1 pour City. Le match basculait alors dans un dernier coup de poker pour Carlo Ancelotti.

En effet, Brahim Diaz rentrait sur la pelouse pour apporter encore plus de dynamisme. L’hispano-marocain ne s’est pas prié pour réceptionner le ballon après la frappe de Vinicius et le renvoie d’Ederson sur sa patte droite. Un but de grande classe dans les 18 mètres et un match nul presque trop facile pour le Real. C’était sans compter sur son Jude.

Dans le temps additionnel de la seconde période, Vinicius lob Ederson et laisse Bellingham conclure d’un tacle salvateur pour remporter la victoire. Impressionnant de maîtrise et de courses, l’anglais a surpassé ses fonctions pour garnir encore un peu plus la légende vivante du Real Madrid. Désormais en position de force avant le match retour la semaine prochaine au Bernabeu.

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