PSG – MONTPELLIER (21H)
Avant d’aborder cinq jours décisifs dans la saison du PSG, Luis Enrique est revenu sur ses choix tactiques, notamment celui mis en place à Newcastle.
A quatre jours du match à Milan en Ligue des Champions, le PSG reçoit Montpellier au Parc des Princes. Après la défaite contre Nice, à la veille du déplacement à Newcastle (match également perdu), Luis Enrique a compris la leçon et devrait aligner une équipe de départ très proche de son onze type. En sachant que le technicien espagnol récupère Marco Asensio, de retour après sa longue blessure, mais perd Danilo Perreira, out jusqu’à la trêve internationale.
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Un match contre le 11ème de Ligue 1 (un petit point d’avance sur le barragiste) qui peut permettre au PSG de prendre la tête de la Ligue 1, en attendant le Nice – Rennes de dimanche soir.
« Un processus complexe qui demande du temps à mettre en place »
En quatre jours, le club de la capitale peut s’installer en tête de la Ligue 1 et quasiment valider sa qualification pour les huitièmes de finale de la Ligue des Champions. Un pas fort en avant pour Enrique, qui explique que « l’équipe fait des choses très bien mais est encore dans une phase initiale. On est encore dans un processus de synergie pour voir quels joueurs s’entendent le mieux ».
En conférence de presse, l’entraîneur du PSG est revenu sur les débats incessants autour de ses choix et de son système de jeu. « C’est une évolution constante. J’essaye de faire que le PSG soit imprévisible pour l’adversaire mais prévisible pour nous », a-t-il expliqué.
L’Espagnol a directement répondu sur la présence de quatre joueurs offensifs dans le onze de départ, comme ce fut le cas (et très critiqué) à Saint-James Park notamment. « C’est un processus complexe qui demande du temps à mettre en place. Cela peut être difficile à comprendre de l’extérieur. Mon idée, je la répète, c’est d’avoir des formations infinies en attaque avec les mêmes joueurs. Afin de devenir imprévisible pour l’adversaire et donc difficile à contrecarrer ».
L’entraîneur du PSG reconnaît que cette recherche tactique n’est pas sans risques, mais se veut très optimiste. « Je suis content de la manière dont les joueurs assimilent ce processus. Cela demandera du temps et cela sera mieux quand je l’expliquerai en français. »